🎓 Le Collège de l’immobilier du Québec : la meilleure école de courtage… ou une machine à échecs payants ?
Si vous souhaitez devenir courtier immobilier, on vous orientera presque automatiquement vers le Collège de l’immobilier du Québec (CIQ). C’est l’établissement le plus connu, le plus recommandé… et le plus rentable pour le système.
Mais derrière l’image professionnelle, les brochures bien léchées et les beaux slogans, se cache une réalité bien moins reluisante.
Frais cachés, profs qui enseignent pour vous faire échouer, examens internes douteux… Le CIQ est-il vraiment la meilleure école, ou juste la meilleure pour vous faire payer encore et encore ?
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🧾 Une formation déjà coûteuse au départ
Le programme de base pour devenir courtier coûte entre 5 000 $ et 8 000 $, selon le format (temps plein, partiel, en ligne). Ce prix inclut :
• Les cours en ligne ou en classe,
• L’accès à une plateforme pédagogique,
• Des examens internes,
• Un diplôme reconnu pour passer l’examen de l’OACIQ.
Mais ce que peu disent, c’est que ce prix n’est pas la fin de l’histoire.
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💸 Les frais cachés : la facture grimpe vite
Ce que plusieurs étudiants rapportent :
• Des frais d’inscription ou d’accès à certains modules qui ne sont pas clairs dès le départ.
• Des manuels obligatoires non inclus dans le prix.
• Des reprises d’examens internes facturées, parfois jusqu’à 1 000 $.
• Et surtout : des cours piégés, où certains professeurs semblent vous pousser vers l’échec.
🎙️ “Il y a un prof qui nous faisait 30 questions pièges sur 35. Toute la classe a échoué. Ensuite on nous dit qu’on doit repayer pour reprendre.”
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👨🏫 Certains profs : sabotage pédagogique ou incompétence ?
Plusieurs témoignages dénoncent :
• Des enseignants qui ne suivent pas le contenu exigé à l’examen de l’OACIQ,
• Des évaluations internes qui n’ont aucun lien avec ce qui est réellement demandé,
• Des notes données de manière arbitraire ou ultra-sévère, pour pousser à l’échec.
Résultat : vous croyez que c’est vous le problème… alors que c’est le système qui est pensé pour que vous échouiez (et repayiez).
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📉 Un taux d’échec… prévu d’avance ?
Certains cours clés (comme droit ou contrats) sont régulièrement enseignés par des profs réputés pour “faire couler” les étudiants.
Pourquoi ? Parce que plus vous échouez, plus vous repayez. Et plus vous repayez, plus l’école encaisse.
C’est un modèle d’affaires qui repose sur :
1. Un minimum d’étudiants qui réussissent du premier coup (pour maintenir une réputation),
2. Un maximum de redoublements et d’échecs pour rentabiliser la cohorte.
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⚠️ L’ANTICIQ lève le voile
L’ANTICIQ, regroupement libre de courtiers et de candidats désabusés, affirme que :
• Le CIQ n’est pas une école, c’est une machine commerciale.
• Le modèle repose sur le volume, l’échec contrôlé et la dépendance du candidat.
• Les profs ne sont pas encadrés, certains enseignent comme s’ils étaient là pour filtrer, pas former.
• Personne ne surveille les pratiques pédagogiques, et les plaintes internes sont ignorées.
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🎯 Alors, meilleure école… ou meilleur piège ?
Le CIQ est peut-être la plus visible, mais ça ne veut pas dire la plus honnête.
Avant de vous y inscrire :
✅ Demandez les taux de réussite réels par cohorte.
✅ Demandez des témoignages d’étudiants récents, pas ceux sélectionnés pour leur réussite.
✅ Et surtout, documentez tout ce que vous payez, et tout ce qu’on vous cache.
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📌 Conclusion : une école pensée pour l’industrie, pas pour l’étudiant
Le Collège de l’immobilier du Québec est peut-être reconnu, mais il est aussi profondément intégré au système opaque du courtage :
Un système où votre échec est un modèle d’affaires, et votre réussite une exception monnayée.
Ne vous laissez pas séduire par un logo, une promesse ou un site web bien fait.
Renseignez-vous. Doutez. Et surtout, parlez.